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Le 27/06/78 naît le premier futur membre de Gox,
qu’on appellera G car il sera la partie Guitare de Gox. On ne
dira pas de lui que « dès son enfance on voyait qu’il
serait un musicien plus tard parce qu’il passait son temps à
chanter devant sa glace avec une brosse en guise de micro, et parce
qu’il animait les soirées en imitant Johnny Hallyday ».
Non car il ne faisait pas tout ça.
Son père étant jeune était guitariste et bassiste.
Il ne reste de ceci qu’une vieille guitare que notre futur-gox
n’arrivera à faire sonner que 17 longues années
plus tard.

- Le 05/01/1981 naît le deuxième futur
membre de GOX, qu’on appellera Skox, car il l’a décidé
comme ça. Lui non plus ne montrera aucun don spécial pour
la musique (premier point commun avec son partenaire), si ce n’est
que sa famille est riche d’artistes en tout genre. Il possédera
vite une guitare, pouvant faire fi d’un talent de musicien, mais
n’importe quel curieux pourra se rendre compte qu’il ne
s’agit là que d’un leurre, semblable à ceux
utilisé dans les films et les pubs pour symboliser « l’adolescent
type ».

- L’éducation musicale de G se fera par
le metal, mais pas par nirvana (car G rechignera à écouter
un groupe que tout l’monde écoute déjà, c’est
trop simple et c’est un manque de personnalité, trouve-t-il.
Quel jeune rebelle que celui-ci). Il mettra un certain temps ainsi à
se décider à écouter des groupes comme radiohead,
bien ancré dans son idée de ne pas faire comme tout l’monde.
- Skox quant à lui n’hésite
pas deux secondes à écouter nirvana, tout simplement
parce que c’est bien, et même dans cette optique, hésitera
pas à écouter des groupes comme GreenDay, mais ça,
on sait pas bien pourquoi.(on mettra ça sur le dos de la
jeunesse, encore que la jeunesse a déjà bien assez
de fardeau à porter pour avoir en plus celui de faire écouter
Greenday…) Fort d’une curiosité qui le caractérise
bien, il ouvrira très vite son champs musical à divers
groupes et genres musicaux, passant de la folk, rock, punk, chanson
française (dans la limite des bons stocks disponibles) à
l’electro et même au hip-hop (il faut bien que quelque
chose l’amène à jouer de la groove box au bout
d’un moment)

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La rencontre se fait en 1998. La passion de la guitare
et de la musique aura amené G a redoubler maintes et maintes
fois (le nombre exact n’est pas révélé mais
se situe parait-il légèrement en deçà de
Pi. Les chercheurs sont dessus et n’ont comme indice que le fait
qu’il s’agirait d’un chiffre sans décimales)
et donc finalement à se retrouver dans la même classe que
Skox qui est quand même bien plus jeune il faut l’avouer.
Un autre point commun est déjà flagrant, ils ont tous
les deux les cheveux longs. G le remarque et se fait une joie d’avoir
dans sa classe un semblable, Skox s’en fou. Normal, dans le style
dans lequel évolue G, les cheveux sont un signe distinctif, un
signe de ralliement.
Dans le monde de Skox, ça ne veut rien dire. Quand bien même,
c’est peut-être ce qui les amènera à parler
musique, à faire connaissance, à rire, à se prêter
des cd, à s’apprécier, à rire quand l’un
sort une blague. Mais pas encore à collaborer.

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A cette époque, G a déjà joué
dans plusieurs groupes de rock/Metal, sans grand avenir, mais pour
le plaisir avant tout. Skox quant à lui a fait des essais,
tout seul, sur ordinateur, s’est déjà auto produit
une cassette, qu’il est le seul à écouter, et
encore, mais il est déjà curieux de produire de la
musique, d’en créer plutôt que de faire que de
la consommer.

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1999 – ayant réussis brillamment leur
bac, les deux joyeux lurons se retrouvent dans la même université,
dans la même section : « arts du spectacle/cinéma
», section attrape-nigauds (et il y en aura pas mal) qui permettra
à chacun d’agrandir leur nombre de connaissances, de rigoler
pas mal, d’avoir bac+1, bac+2, bac+3 sans trop s’en rendre
compte, et de finalement se retrouver en maîtrise avec des diplômes
à ne plus savoir qu’en faire. D’ailleurs, ils n’en
font pour l’instant rien.
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2002 C’est ainsi en maîtrise que G
incite son groupe ELEA à faire participer Skox dans le groupe
dans la gestion de la groove-Box. ce que Skox accepte, possédant
déjà le matériel nécessaire mais pas
trop le savoir, il ne demande qu’à essayer. Et à
apprendre.

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Ainsi Skox découvre enfin vraiment la musique,
les joies d’en faire, et découvre également avec
G qu’ils ont les même envies musicales, jouer une musique
sobre, calme, lancinante, parfois répétitive (ce qui leur
vaut des reproches parfois, reproches que l’on pourrait qualifier
également de répétitif, alors hein, c’est
pas mieux). Une musique dans laquelle ils se retrouveraient, qu’ils
ne joueraient pas ailleurs. La musique, oui, la musique.
Même
si leurs origines musicales sont divergentes, Skox et G se retrouvent
dans des groupes comme Mogwaï, Sigur Ros, Radiohead, Grandaddy,
Low, Godspeed, A Silver Mount Zion..etc.

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Le déclic se fait réellement en cours,
alors qu’une prof aussi naïve que toutes celles de ces années
d’étude croyait être écoutée, l’idée
germe « guitare + groove-box = GOX ». L’univers se
crée, la symbiose se fait. Le gox’n-roll est né.
Il ne reste plus qu’à créer la musique, ce qui se
fera un dimanche soir, après une répétition d’avec
ELEA. « Wake Up on a shiny Sunday morning » naîtra
de la parfaite osmose entre l’ingéniosité innocente
de skox et la recherche de beauté à travers la technique
de G.

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Le résultat sera assez concluant pour dire
qu’un groupe est réellement né.
La
suite de tout ceci se trouve dans les news….
G.
